Je suis ma boule….
Oui, je sais elle est facile….et pourtant, qui la suit sa boule ?...je parle bien évidemment dans la pratique du Tai ji quan…Ou même dans certains Qi Gong.. Vous avez tous remarquez, pratiquants de Tai Ji Quan, que dans certaines phases de l’enchainement, nous reformons la « boule d’énergie », et dans la plupart des techniques du reste… En fait cette fameuse boule d’énergie est constamment présente, nous travaillons avec, en étirement, pression, allongement, etc… Outre le travail interne que l’on peut développer avec cette boule, le but de la technique au deuxième degré est de se familiariser avec le « QI », et d’activer un champ énergétique important autour de soi. Ainsi, la fameuse ceinture de « Qi » peut être augmentée, permettant de renforcer le « bouclier de protection ». Un travail sur l’externe est aussi possible, en projection, dans le « Martial ».. Le travail interne sera abordé plus tard, mais sachez simplement que ce réservoir naturel énergétique que nous activons au cours de la pratique, et que nous conservons tout le temps de la « forme », sert à réguler et pallier aux éventuels « manques » ou « trop » en circulation de « QI », du pratiquant. Il ne s’agit plus ici, d’imiter bêtement sans comprendre, (phase primale), mais de conscientiser et de ressentir l’énergie, pour ensuite s’en servir au niveau santé dans une première phase, et au niveau Martial ensuite.. La compréhension de ces deux niveaux de pratique, amène bien naturellement à l’augmentation du « taux vibratoire » de l’individu et donc à une ouverture plus grande de la conscience… Toutes ces différentes phases d’évolution dans la pratique, doivent être abordées avec sérénité et le suivi d’un « enseignant qualifié » (NDR/ s’entend par là, qualifié par le ressenti, la pratique, le vécu …). Tant de techniques superbes et utiles à l’individu, sont de nos jours « galvaudées » par des « pieds nickelés », que l’on assiste à des cours ou des démonstrations, frisant le « désopilant » et le « banal » …Que les « grands Maîtres » doivent se retourner dans leurs tombes…. Essayez simplement, lorsque vous pratiquerez vôtre Tai ji quan, la prochaine fois, que dés la première technique, « Bao Qiao », vous essaierez de rester concentré simplement sur les différentes actions menées sur la « boule de Qi », même si vous ne savez encore quoi faire avec, ou comment l’utiliser… Simplement avec l’intention « YI », restez connecté à cette boule … Rien que par cette technique simple de concentration, vous évoluerez sans le savoir. (cela, impliquant le fait bien entendu, d’une parfaite connaissance des mouvements et d’une mémorisation du « film » quasi irréprochable). Ensuite, nous passerons à la « boule et la santé », « la boule et l’interne », « la boule et le martial », la boule et le cochonnet…. Heu ! Pardon !!! Des vieux souvenirs !!!. Dorénavant lorsque des personnes vous demanderons pourquoi vous avez cet « Air » con…concentré.. En pratiquant la forme, vous pourrez leur répondre…
« Je suis ma..boule ».
La boule ou les boules 
Êtes-vous toujours en verticalité et êtes-vous tout le temps sincère dans la vie… (Je ne parle pas des omissions de compromis…exemple, vous rentrez le soir en disant à vôtre compagne, « j’ai rencontré cet après-midi, une blonde, une vraie bombe sexuelle, et je lui ai fait l’amour pendant quatre heures… » No coment….). Non, juste de certaines situations qui dénotent vôtre honnêteté réelle… Il y à peu de temps, je rencontre une amie, qui me dit, qu’elle ne peut en ce moment participer au cours de Tai ji quan que je dispense, car elle est mise à contribution par sa fille en tant que grand-mère pour s’occuper de ses deux petites filles (jumelles)….Et de rajouter « elles sont belles »…Moi de lui rétorquer « le sont elles vraiment ? »… Puis je lui expliquai le pourquoi de cette réflexion… Juste, deux histoires vraies… La naissance de la fille de mon meilleur ami, qui retrouvait sa femme, à la clinique, n’ayant pu assister à l’accouchement.. En rentrant dans la chambre, son épouse lui dit que sa fille n’était pas là, ayant contracté la « jaunisse des bébés » et se trouvant donc chez les « prématurés »…Donc voici nôtre Ami se dirigeant vers le pavillon réservé aux enfants prématurés sous la direction de sa belle-mère, qui savait où se situé le lit de sa progéniture…(l’infirmière sachant que cette sexagénaire avait des difficultés de « vue » , lui avait assuré de toujours mettre sa « petite-fille » à l’entrée à droite derrière la vitre de séparation, afin qu’elle n’ait aucune difficulté à la reconnaître) .. Donc toute fière de montrer à son gendre la réussite de ses ébats conjugaux, elle ouvrit le chemin jusqu’à l’endroit où l’on pouvait apercevoir ce « merveilleux bébé »…Une fois devant la vitre , elle montra à nôtre jeune bipède la « chair de sa chair », allongée dans une couveuse…Là quelle ne fût pas la surprise pour ce jeune héros de voir sa fille, tout fripée, ressemblant plus à une « merguez algérienne ayant échappée aux derniers coups de fourchette du cuistot local » qu’à une perle de beauté tel qu’on lui avait décrit… Là « petit scarabée » resta digne de l’enseignement de ses Maîtres et d’un cri sortant du plus profond de son être, s’exclama « c’est « çà » ma fille » ?… Juste une constatation, qui marquait le fait que les autres étaient ; soit des « faux- derches », soit avaient « de sérieux problèmes de vue »…Sur ces entre-faits accouru l’infirmière avec un beau bébé (là, un beau…) en s’excusant, car elle avait été dans l’obligation de déplacer le petite, etc… Force est de constater que ce jeune fût honnête dans son l’expression de son ressenti… Il aurait pu faire comme tant d’autres parents, « ho ! Qu’il est beau, il ressemble à son père… » (Elle pourra lui intenter un procès plus tard dans ce cas là..).Tout le genre d’idioties que l’on peut dire pour se rassurer… (Evidemment, je ne conseille pas au nouveau papa de se tourner vers sa femme et de lui dire : »… Neuf mois d’angoisses, de nuits blanches, et d’abstinence pour çà, pour peu qu’elle est le caractère de ta mère…). Des années plus tard…..La petite devint grande… Au fait vous connaissez cette histoire ?... « Un mari va au chevet de sa femme, pour voir sa progéniture fraîchement débarquée en « 3D »….Mais, voyons la physionomie du bébé, et le désarroi de la maman, dit : « t’inquiètes pas ma chérie, c’est nôtre enfant, nous l’aimerons quand même…. » Les années passèrent, le petit devînt grand, à l’âge de 11 ans, un jour que la famille piquer et niquer (pique-niquer, pardon..) dans un pré, un paysan s’approcha d’eux un panier de fruits à la main…. Il s’arrêta et hospitalier, demanda à la maman si elle voudrait bien manger une bonne pomme de son verger, puis se tournant vers le mari, il lui fît la même proposition…. Enfin se tournant vers l’enfant, demanda au papa, « Et le petit singe, il prendra bien une banane »… Donc, justement 11 ans plus tard, un soir de quiétude et de repos, « on frappa » à la porte de nôtre jeune héros… Un de ses amis, rentra avec « la tête des mauvais jours », après une salutation loin d’être chaleureuse, il s’en vînt à expliquer un conflit qui existerait entre leurs filles respectives…Blabla, blabla… Pui, avec une colère non feinte lança à la face de « scarabée », « de toute façon, tu as dit que mon fils était un monstre »… Surprise, et vraiment impossible à croire de la part de ce moinillon franchouillard, qu’il ait pu tenir de tels propos… (Effectivement, ce farouche perturbateur de soirées tranquilles, venait d’avoir un petit garçon, il y avait juste quelques mois..) Et toujours en étant dans sa verticalité, « scarabée » avait, lors d’une discussion antérieure à la naissance de ce « petit », dit à ses amis, qu’il était hors de question pour lui, de dire n’importe qu’elles fadaises « élogieuses » devant le berceau d’un nouveau né, si lui , ne le trouvait pas beau… Et vous devinez la suite, cet enfant, n’était pas du tout joli, à la naissance (ce qui n’empêche bien entendu, pas qu’il puisse devenir un Play- boy plus tard, cela n’a absolument rien à voir…)..Et, bien sûr nôtre « roi du kung-fu » ne pipa mot, au grand dam des parents… Qui rongèrent leur frein, jusqu’au jour où, le père ait pu dire son ressentiment devant « une telle constatation »… Vous pensez bien que leur « amitié » ne tînt pas le choc… Est-ce le « prix à payer », pour être sincère que d’avoir le ressentiment, la véhémence, la jalousie, la haine, la colère et surtout la connerie des gens, exposées en face de soi, avec de telles violences… Faut croire ! … Car sachez qu’il y aura toujours « un prix à payer », quel qu’il soit, vis-à-vis des personnes, tant qu’elles ne se seront pas « débarrasser de leur manteau en peau de « cocoonerie »…Regardez même dans vôtre couple, madame ou monsieur, êtes vous sincèrement dans l’acceptation de « l’autre » sans restriction aucune, ou « imposez vous » à vôtre conjoint « consciemment ou inconsciemment » des barrières ou des limites , attendez vous « quelque chose » de l’autre, qu’il se comporte de telle ou telle façon ? Que si « je fais çà » tu devrais « faire çà pour moi ?...etc.. Faites vous payer un prix, à l’autre, ou un droit de passage, ou passer un examen ?... Vous serez obligé de payer, d’une façon ou d’une autre, tant que l’individu restera « frileux »… Mais si vous êtes vertical et sincère…Ma foi, restez seul ou taisez vous 
Laissez moi vous conter l?histoire de ce restaurateur, qui ressemble à deux gouttes d?eau à Jean Gabin, dans « Le gentleman d?Epsom »?Il devint comme un second père pour moi. Un personnage « haut en couleurs », avec une « Aura » extraordinaire, un culot monstre, un sens des affaires frisant plus, celui du fameux « Commandant » Richard Briand- charmery de ce merveilleux film de Gilles Grangier. Film, que j?offris du reste à cet ami. A chaque fois que le revisionne, rien que pour les dialogues d?Audiard, je repense et je vois toujours, mon ami?
Doit on ne plus croire en Dieu ?.... 
Serions nous des attardés ?.... 
Comme dans la réflexion de l'article précedent, selon où l'on dirige sa pensée, le résultat sur un état ou une action, s'en trouvera totalement modifié...En cette période durant laquelle, il fait une chaleur dont nous n'avons plus l'habitude,la réflexion qui revient souvent est :" Qu'est ce qu'il fait chaud..." Maintenant, dites vous que cette chaleur dont vous ressentez les effets, et qui vous rend paresseux, las ou amorphe, n'est ni plus ni moins qu'un état de la nature et que que votre corps réagit en conséquence. Admettez simplement que cette chaleur "EST" , que celà ne persistera pas, autant que le Yang devient Yin autant cette chaleur sera incessament remplacée par une brise douce ou une température plus clémente...et laisser votre pensée se focaliser sur votre respiration, sur les ressentis de votre corps qui donc en réagissant "existe" vit, est là en vibration...Souriez à cette nature qui par son rayonnement vous fait transpirez, ce qui vous montre que vous êtes en parfaite harmonie avec l'univers,avec laquelle vous vibrez. Et vaquez à vos occupations, tout en admettant et comprenant les cycles de la nature,et comme par enchantement cette chaleur deviendra non seulement supportable, mais une alliée, une amie, qui parcoure un bout de chemin avec vous , en parfaite osmose. Comprendre, admettre, remercier...Votre pensée n'est plus focalisée à ce moment là, sur quelque chose de désagréable,plus rien ne vous anéanti puisque c'est vous qui dirigez vos vibrations... Ce n'est plus qu'un état et de plus passager, donc pourquoi s'arrêter dessus.. "Alors, cette chaleur?..." /fdata%2F0492636%2Favatar-blog-4691537-tmpphpF0bYsB.jpeg){kind=avatar}
/fdata%2F0492636%2F%2Favatar-user-221058-tmpphpOKd2C4.jpg){kind=avatar}